Randonnée

RANDO

Amoureux de grands espaces ?
Envie de randonner dans un groupe sympa ?
La Légion Viennoise vous propose des sorties mensuelles dans la convivialité et le respect de la nature.
Alors chaussez vos chaussures, prenez votre bâton de marche et rejoignez-nous !

 

 

 

Lieux et horaires de randonnées

Nos randonnées se font principalement dans les Alpes et le Pilat.
Consultez l'Agenda pour connaître le calendrier des randonnées.

  • Tous les vendredis après-midi le départ est donné à 13h30
    (appeler Marie-Madeleine ou Marie-Christine pour définir le lieu de rendez-vous).
  • Une randonnée mensuelle est prévue (le samedi ou le dimanche) toute la journée.
  • Une randonnée sur un weekend de temps en temps.
                

Pour les sorties, prévoir

  • Un pique-nique et de l'eau en quantité suffisante
  • De bonnes chaussures de marche, un chapeau et un vêtement de pluie

Pour diverses raisons, le lieu pourra être modifié ou la sortie annulée
Les mineurs seront sous la responsabilité des parents

Renseignements et inscriptions

  • Marie-Christine et Michel au 06 61 39 96 84
  • Marie-Madeleine au 06 29 16 01 40
  • Ou, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 

Tarifs

  • 5 € par sortie pour les non-adhérants (adhésion obligatoire à partir de la troisième sortie)
  • Adhésion annuelle : 30 €

Certificat médical obligatoire dès la première sortie

Planning 2022-2023

   

 


La météo n'est pas très clémente, le ciel est bas et menaçant mais... 23 légionnaires sont présents sur le parking de la halle sportive à St Romain.
Et voilà, le dimanche s'annonce plein de soleil dans nos têtes et dans nos cœurs ! Départ pour Le Plantay où 4 autres légionnaires nous attendent sur le parking de l'Abbaye de Notre Dame des Dombes.
Après les embrassades traditionnelles et une distribution de "Musculine"*à chaque participant, nous partons pour une randonnée facile en Dombes. Le groupe progresse tranquillement ; les uns prennent des photos, les autres discutent, les vaches nous regardent passer, nous admirons leurs robes qui ont des couleurs peu habituelles... Après un pique-nique pas très prolongé (il ne fait vraiment pas chaud quand on s'arrête) nous poursuivons notre trajet.
Les sous-bois sont beaux, le temps n'est pas si méchant que ça avec nous, il ne pleut pas et paisiblement nous regagnons le parking de l'Abbaye d'où nous repartons après un petit goûter unanimement apprécié.
Une nouvelle randonnée sous le signe de la bonne humeur, la bonne entente, la solidarité : comme de coutume à la légion. Un petit regret cependant : la sécheresse a vraiment mis à mal les étangs, et beaucoup ont peu d'eau.
*La musculine est une spécialité fabriquée exclusivement par l'Abbaye Notre-Dame-des Dombes ; elle est destinée à répondre aux besoins d'un effort musculaire immédiat, effectué notamment lors de compétition ou dans des conditions spéciales ; croissance, dépenses physiques et intellectuelles...)

CR. Colette


21 randonneurs ce dimanche matin sur le parking d'Intermarché à Malissol pour nous rendre à Saint-Chef, en Dauphiné pour notre randonnée dominicale. Nous nous garons sur le parking derrière la Mairie.
Le temps est couvert mais agréable.
Nous commençons par déambuler dans le village pour découvrir la richesse du patrimoine de la cité médiévale. Ensuite nous empruntons une partie du parcours de santé et nous nous dirigeons vers Arcisse, la ferme du lac, le marais Crucilleux. Nous débouchons sur une allée de marronniers et de tilleuls qui nous laisse entrevoir l'entrée du château de Chapeau Cornu. La route du Lavoir, assez raide mais courte, est à notre menu avant de nous restaurer dans un pré fraîchement coupé à proximité de La Rivoire.
Deux Saint-Cheffoix, qui nous ont rejoints au départ, ont eu la gentillesse de nous offrir du vin de noix «maison».
Au point culminant du circuit, malgré la brume, on peut admirer les montagnes du Bugey avant de redescendre sur Saint Chef. Arrivés au parking, plusieurs d'entre nous ont visité l'abbatiale.
Tout au long du parcours, châtaignes et noix furent glanées au grand bonheur des randonneurs.

La journée se termine par une collation offerte par Georges à l'occasion de la naissance de son petit-fils Jules.

CR. Roger

Balade vers le Gouffre d’Enfer


C’est avec des craintes légitimes concernant les conditions météorologiques de cette journée de dimanche que nous nous retrouvons au point de rendez-vous à Saint Romain en Gal. A ma grande joie, beaucoup de randonneurs ont répondu présents et même mieux, deux nouvelles personnes nous ont rejoints aujourd’hui. Cette randonnée sera donc un test qui les fera peut-être nous adopter. Iris, la chienne mascotte d’Alain est de la fête.

Nous nous rendons juste au-dessus de Saint Etienne (42) puis gagnons le parking du Val d’Enfer situé sur la commune de Rochetaillée. Lorsque nous nous équipons de nos chaussures de marche et de nos bâtons, nous prenons soin de ne pas oublier les vêtements de pluie car le ciel reste menaçant avec de gros nuages. Quant à la température, bien qu’il ne fasse pas vraiment froid, elle nous contraint à porter une petite laine.

Les premières centaines de mètres parcourues, nous nous heurtons au mur du barrage du Val d’Enfer qui s’élève devant nous. Un escalier en pierres serpente sur le côté gauche du barrage et après quelques minutes d’une ascension laborieuse avec des dizaines de marches inégales, nous parvenons en haut du mur. Les jambes, et plus particulièrement les cuisses, ont été sollicitées sans modération pendant la montée des marches et cela a constitué un bon échauffement. C’est maintenant le moment des premières prises de photographies.

Nous profitons de l’échauffement précédent pour gravir encore un escalier de fortune taillé dans la roche qui nous mène en haut d’un gros rocher. De là, nous bénéficions d’un point de vue intéressant sur ce Val d’Enfer. La montée n’était pas facile, la descente nécessite une attention soutenue mais heureusement, tout se passe bien.

Un kilomètre et demi plus tard, nous sommes au centre du village de Rochetaillée et nous entreprenons la visite du château, enfin de ce qu’il en reste. Du haut de la tour supérieure, nous avons une vue privilégiée sur le bourg, la vallée qui descend vers Saint Etienne, puis de l’autre côté un panorama sur les alentours de Rive de Gier. Mais il ne fait pas très chaud car la bise s’est levée, ou du moins, nous la ressentons plus ici en ce lieu dégagé que tout à l’heure quand nous étions dans la partie encaissée du Val d’Enfer. Deux kilomètres et demi nous séparent de l’auberge des Genêts d’Or où nous sommes attendus. Nous partons donc en direction du hameau du Breuil ; le dénivelé positif assez prononcé au départ n’est pas un obstacle à notre bonne humeur quand nous progressons dans les sous-bois des forêts où s’élèvent majestueux les troncs droits des conifères. Les premières vraies gouttes nous atteignent quand nous arrivons à la fin du sentier forestier ; nous sommes maintenant sur la piste et l’auberge n’est plus qu’à 300 mètres. Heureusement, car le ciel se met à pleurer et sa tristesse semble s’amplifier de minute en minute.

L’auberge des Genêts d’Or se situe au hameau de Salvaris ; nous sommes bien accueillis. Nous avons à notre disposition la grande salle de l’étage où nous serons pratiquement seuls, à l’exclusion d’une table de quelques personnes. Bruno nous a rejoints en voiture pour prendre le repas avec nous. Dans cette vaste pièce, un gros fourneau diffuse une chaleur que nous apprécions.

Le repas ne nous déçoit pas avec un rapport qualité/prix qui ne donne lieu à aucune remarque. Le seul point noir soulève en moi un courroux que j’ai du mal à contenir sur le moment : le service est devenu un peu long à partir du milieu du repas. Nous allons ainsi accumuler près d’une heure et demie de retard sur l’horaire que j’avais envisagé. Mais dehors, il pleut ; alors nous sommes bien là, installés au chaud, à discuter en agréable compagnie. Iris, qui s’est couchée dès son entrée dans la salle, fait preuve d’une sagesse exemplaire et une fillette admirative vient lui prodiguer quelques gentilles caresses.

Il est quinze heures trente quand nous reprenons la randonnée ; il nous reste dix kilomètres et les premières centaines de mètres s’effectuent au travers d’un pâturage où de belles vaches nous regardent passer d’un air interrogatif. Lorsque nous arrivons sur la piste du plateau de Barbanche, la pluie commence. Heureusement, elle se fait timide et disparaîtra rapidement.

Trois kilomètres plus tard, nous abandonnons la piste forestière qui serpentait à plat sur cette hauteur pour descendre en direction de la route départementale qui relie Le Bessat à Saint Etienne. Nous traversons avec les précautions d’usage cette voie de circulation puis nous nous engageons sur un chemin nouvellement mis en forme par d’énormes engins de terrassement : nous sommes sur la voie qui conduit au chantier du barrage du Pas de Riot. Ce barrage qui se situe derrière celui du Gouffre d’Enfer que nous avons vu ce matin est actuellement vidé et d’importants travaux de consolidation de son mur sont en cours. Le passage de piétons sur cette partie du chantier est interdit en semaine mais laissé libre le week-end. Arrivés en bas, au niveau inférieur du mur du barrage, nous basculons sur l’autre versant de la vallée étroite. Nous allons ainsi marcher pendant quatre kilomètres jusqu’à parvenir au barrage du Gouffre d’Enfer. Là, nous aurons bouclé la boucle. Puis un dernier kilomètre nous ramènera jusqu’au parking où nous attendent sagement nos véhicules. Une fois déséquipés, nous profitons de l’anniversaire de Michel pour partager une agréable collation. Il est un petit peu tard dans l’après-midi compte tenu du retard pris au restaurant ; mais finalement, ce retard a été bénéfique puisqu’il nous permis d’éviter le gros des averses et ainsi nous avons pu presque passer entre les gouttes.

 

Le 21 mai, après une randonnée sur les hauteurs de Chuzelles, les légionnaires se sont rendus impasse de Boussole (histoire de ne pas perdre le Nord !)
Là, après un apéritif offert par les nouveaux Mamie et Papy"s" du groupe, souhaitant une belle vie future pour ces petits nouveaux nés, tout le monde s'est régalé avec le cassoulet de Liliane.
Un grand merci à elle, qui a travaillé pendant trois jours dans sa petite cuisine pour préparer ce plat pour toute la troupe, nombreuse ma foi ; le légionnaire est gourmand !
La météo était clémente, l'ambiance détendue...
L'après-midi s'est terminée par une partie de boules très disputée entre équipe Femmes contre équipe Hommes : Match nul pour tout le monde !??
De l'avis de tous, une première à renouveler...

CR : Colette

Photo de groupe (Alain G)


Notre départ de Saint Romain en Gal à 9H00 permit à chacun de pouvoir accomplir son devoir d’électeur s’il le souhaitait. Nous gagnons Sarras qui fait face à Saint Vallier, quarante kilomètres au sud de Vienne. Le ciel hésite entre soleil et nuages, mais ceux-ci sont vite chassés par un vent soutenu. Ce vent frais nous encourage à garder quelques lainages qui deviennent aussitôt inconfortables dès que nous sommes à l’abri des rafales.
Nous commençons par quelques centaines de mètres de goudron pour sortir du village avant de nous enfoncer dans un environnement plus champêtre. Cette mise en route permet à beaucoup de faire connaissance avec Tarek, nouveau venu dans notre groupe. Il faut donc que nous nous appliquions car nous n’avons pas le droit de le décevoir.
Bientôt, nous avons rejoint l’Ay, petit cours d’eau qui a choisi la commune de Sarras pour venir s’y noyer dans le Rhône. Au passage, un majestueux héron semble garder l’amont de la rivière que nous suivons pendant quelques instants. Puis, l’ascension commence : le sentier pentu n’est pas trop mauvais malgré le dénivelé. Très rapidement, nous nous élevons au-dessus du village de Sarras. Après de longues minutes d’efforts recoupés par différents paliers, nous arrivons aux premières vignes. Nous allons en côtoyer jusqu’en haut du coteau. Nous sommes en plein pays du Saint Joseph, ce vin de la vallée du Rhône septentrionale que plusieurs d’entre nous auraient eu plaisir à déguster aujourd’hui.
La peine éprouvée dans la montée n’a pas fait disparaître la bonne humeur et nos vociférations dérangent un joli lièvre qui s’était assoupi à l’ombre d’un bosquet de genêts en fleurs. La marche sur le plateau sollicite moins nos organismes mais nous sommes maintenant exposés en plein vent. Heureusement, une combe nous invite bientôt à bifurquer sur son flanc pour retrouver un peu plus d’abris. Là, surplombant la route qui joint Sarras à Saint Romain d’Ay, la tour d’Oriol nous regarde passer tandis qu’elle surveille le ruban d’asphalte qui serpente plusieurs dizaines de mètres en contrebas. Cette tour n’est plus aujourd’hui qu’un impressionnant pan de mur qui s’élève menaçant au dessus de la route.
Des estomacs réclament la pause de midi : nous pique-niquons à proximité du château de Pestrain. Cette grosse maison bourgeoise va nous protéger contre le vent pour que nous puissions profiter de notre repas, du soleil et de cette nature printanière si engageante. Là, nous lions connaissance avec deux superbes chevaux : ils regardent avec un plaisir non dissimulé ce groupe de joyeux vauriens qui parlent fort et s’assoient par terre pour manger.
Châtaigne, Apple et Iris, nos compagnons à quatre pattes d’aujourd’hui, apprécient également cette pause qui leur permet de glaner auprès de chacun quelques gâteries. Nous sommes bien, nous nous prélassons, nous prenons notre temps…
La marche a repris. Sans demander notre accord, le vent se joint à nous. Nous ne parvenons pas à le semer. Mais soudain, profitant d’un moment où il est moins attentif à nous, nous bifurquons vers une combe pour lui fausser compagnie. Nous nous enfonçons dans la nature en descendant la côte du chat jusqu’à rejoindre les bords de l’Ay. Nous sommes un peu en dessous du village d’Ardoix que nous laisserons sur notre droite. Après avoir compté la présence de plusieurs belles truites dans le petit canal d’amenée d’eau d’une propriété, nous parvenons après une petite grimpette au hameau de Fourany garni de plusieurs belles maisons en pierres. A côté des demeures restaurées, un imposant bâtiment très carré semble à l’abandon. Une charmante dame que nous interrogeons nous fournit aimablement des renseignements sur cette construction, le tout dans un bel accent d’Ardèche : aux dernières nouvelles, il semblerait qu’une communauté…
Nous traversons une nouvelle combe avant de remonter sur le plateau. Là, les vignes ont cédé la place aux arbres fruitiers et aux serres dans lesquelles se dissimulent fraisiers et framboisiers. Les vignobles ne réapparaîtront que quelques kilomètres plus loin lorsque nous nous serons rapprochés du versant rhodanien. A l’extrémité d’une longue piste empierrée, nous débouchons sur la route du Saint Joseph qui sillonne à travers les rangées de ceps. Par endroits, nous distinguons les méfaits du gel de ces derniers jours sur les pousses naissantes de la vigne. Nous côtoyons le domaine viticole de Champal avant de nous enfoncer dans un agréable sous-bois. Dans la descente, le sentier sans être réellement dangereux, réclame toutefois une attention soutenue. Bientôt, nous parvenons au bas de la propriété Biennier que nous remonterons en logeant des cactus, des mimosas (malheureusement, ils ne sont plus en fleurs) et des iris jusqu’à retrouver le plateau où les vignobles se gorgent de soleil. La vue sur la vallée du Rhône mérite quelques photos. A l’horizon, un rideau de brume nous masque les montagnes des Alpes et du Vercors ; aucun regret, cela est signe de beau temps, enfin, il paraît. A nos pieds, le paisible village de Sarras semble s’affronter par le pont lancé sur le Rhône à un tournoi de joute avec sa voisine Saint Vallier située juste en face de l’autre côté du fleuve majestueux.
Nos deux derniers kilomètres nous font traverser ces versants rhodaniens chargés de vignobles et écrasés de soleil.
La randonnée prend fin autour d’une modeste collation que nous savourons à l’ombre et à l’abri du vent. Tout c’est bien passé et Tarek semble satisfait de cette première expérience. Nous avons parcouru un peu moins de seize kilomètres avec un dénivelé positif d’environ cinq cent cinquante mètres. Ce n’est pas un exploit. Non, c’est mieux que ça : c’est un moment privilégié de bonne humeur et de convivialité qui a été partagé par vingt-trois randonneuses et randonneurs. Quant à nos trois compagnons à quatre pattes, si, arrivés au terme, ils sont bien fourbus, ils s’avouent d’ores et déjà volontaires pour les prochaines randonnées.

CR : Alain et Marie-Hélène


Nous sommes 14 randonneurs ce dimanche matin sur le parking d’Intermarché à Malissol pour se rendre à Villemoireu.
Nous nous garons sur le parking près de la Mairie et de l’église, le temps est au beau, le ciel est clair, et le fond de l’air est frais.
La randonnée commence par de la route goudronnée qui va nous conduire à l’extrémité du village, au passage nous pouvons admirer le château de Mallin. Pour nous mettre dans le bain nous attaquons directement par une bonne montée (170m D+), de quoi nous réchauffer et nous mettre dans l’ambiance. Nous continuons ensuite par un sentier vallonné pour atteindre la chapelle située dans le cimetière au-dessus de Moras. Nous en profitons pour prendre une petite collation afin de reprendre quelques forces. En repartant nous pouvons voir le village de Moras, village où nous sommes déjà venus lors d’une précédente randonnée. Puis nous empruntons un chemin qui nous conduit sur la rive du lac de Moras que nous parcourons jusqu’à son extrémité sud puis sur l’autre rive pour atteindre le village de Crizieu. Juste après ce village nous trouvons un espace bien exposé sur un talus pour faire la pause casse-croûte agrémentée de biscuits, café et de mirabelle ‘’liquide’’. Est-ce la mirabelle qui fait son effet ? Au loin nous distinguons une nuée d’oiseaux qui tournoie dans le ciel. Après quelques hésitations et l’utilisation d’une paire de jumelles nos parvenons à identifier un vol de cigognes qui petit à petit disparaîtra. Après ce beau spectacle nous reprenons notre chemin en empruntant un long sentier ombragé pour arriver au village de Moirieu que nous traversons. La suite du parcours est une succession de montées et descentes (parfois bien boueuses). En fin de parcours nous repassons devant le château de Mallin (maison forte) où nous retrouvons dans le parc les cochons noirs, le dindon, la chèvre et autres animaux. Juste avant d’arriver au parking nous apercevons au loin le château de Bienassis, celui-ci a été transformé en gite équestre avec un hippodrome réservé à l’entrainement et aux courses.

La journée s’est terminée par le verre de l'amitié accompagné d’une succulente tarte et des petits gâteaux, Robert en a profité pour fêter son anniversaire.

CR: Georges/Roger